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Vérification des faits de la demande unilatérale des États-Unis de fermeture du consulat général de Chine à Houston (10)

31.07.2020 16h14 le Quotidien du Peuple en ligne

10. Faux : Le consulat général de Chine à Houston a ouvertement critiqué le camp pro-démocratie de Hong Kong et a soutenu les contre-manifestations nationalistes sur le campus. Le consulat général a implanté des informateurs sur le campus, a tenté d'influencer les étudiants chinois par la propagande et a sapé la liberté d'expression.

Vrai : les « contre-manifestations soutenues par la Chine », comme le prétendent les États-Unis, étaient des actions patriotiques spontanées et rationnelles menées par des étudiants chinois dans l'exercice de leur liberté d'expression. Ce sont les États-Unis qui ont intentionnellement toléré les actions antichinoises menées sur le campus par certains émeutiers cherchant à déstabiliser Hong Kong.

◆ Certains éléments antichinois cherchant à déstabiliser Hong Kong ont ouvertement tenu des propos radicaux et ont attisé la violence sur le campus au mépris total de la loi. Les étudiants chinois ne se sont réunis que pour exprimer leur indignation dans le cadre d'une action patriotique spontanée et rationnelle. Ce faisant, ils exercent également leur liberté d'expression.

◆ La Chine s'oppose fermement à toute rhétorique ou action séparatiste. Elle soutient le désir et l'aspiration des étudiants chinois à sauvegarder l'unité du pays ainsi que la prospérité et la stabilité de Hong Kong, et nous les encourageons à respecter les lois et règlements locaux et à exprimer leurs sentiments patriotiques de manière rationnelle.

◆ Les États-Unis utilisent le prétexte des « droits de l'homme » et de la « démocratie » pour blanchir les actes criminels violents et radicaux des forces antichinoises qui cherchent à déstabiliser Hong Kong et tolèrent leurs comportements sur le campus américain. Les États-Unis n'ont aucun intérêt à la sécurité et au bien-être des résidents de Hong Kong. Ils ne se soucient que de leurs propres intérêts égoïstes et de leur hégémonie, et utilisent les « droits de l'homme » et la « démocratie » comme une couverture pour s'ingérer dans les affaires intérieures d'autres pays.